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tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier

re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     19 août, 2018 - 16:55
 cortex

Bonjour,

le gastro a mesuré l'acide urique avec la salive. 

Par contre il y a très longtemps que je n'ai pas fait le test urinaire de ph, je me vais reprocurer des bandelettes. 

Pour l'instant le test du pouls n'est pas parlant. Je m'attendais à des bonds et en fait ma moyenne de pouls est 68,5, dans la journée ju suis plutôt ensuite à 72 et, après les repas, soit je monte à 74, soit le maximum est 84, même après le chocolat... ou l'avoine réintroduit récemment, le pouls n'excède pas les 12 pulsations en plus. c'était plutôt une bonne suprise de voir que le pouls ne monte pas excessivement, mais cela n'empêche pas que certains repas, malgré la stabilité du pouls, passent mal... mais je continue à tester. 

 


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 minus     20 août, 2018 - 13:32
 cortex

sauf si c'est indiscret, que veut dire exactement "passe mal"? pour moi, le test du pouls si positif: nouvelle prodigieuse!


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     20 août, 2018 - 14:09
 cortex

bonjour,

moi aussi j'espère beaucoup en le test du pouls, en fait j'essaierai avec l'oeuf entier (pour tester le blanc, je ne mange pour l'instant que le jaune) et d'autres aliments que je soupçonnais. Ceci dit le jaune d'oeuf me provoquent souvent des fermentations de putréfaction.

Quand je dis passe mal : ce sont les lourdeurs digestives, les repas (même petits et fractionnés) qui restent des heures dans l'estomac. J'avais essayé le betain Hcl mais je ne le supporte pas, les enzymes me réussissent mieux, même si elles ont leurs limites. Autres symptomes différents qui me disent que cela passe mal : le lendemain où j'ai mangé du canard le lendemain brumeuse comme si j'ai pris un "uppercut", migraine,... idem lorsque je mange jusque 140 gr de poulet (en 2 prises petit-déj et repas de midi, j'augmente progressivment les doses...), problème d'amines surement. Là, la "parade" trouvée quand je suis brumeuse c'est une bonne marche d'une heure, de manière à transpirer, cela ne marche pas à tous les coups mais parfois c'est ce qu'il fallait.

L'apparition de bouton sur le visage aussi, autre symptome ou aphtes.

En fait j'ai encore du mal à distinguer ce qui est de l'ordre d'une véritable intolérance ou de l'ordre d'un système digestif qui, déjà fragile à la base chez moi, s'est atrophié avec tout ce que je lui ai fait subir, les carences accumulées. la bonne nouvelle est que je ne semble pas être intolérante à la caséine puisque après le comté le pouls augmente de 12 maxi.  Je dois encore essayer avec le k-philus et le petit-epeautre. Et je n'ai pas assayé avec d'autres aliments depuis longtemps évincés tels ceux soufrés comme ail, oignon et choux, légumineuses, fruits autre que banane, blé...

p s : Pour l'acide urique il utilise des bandelettes, même système que pour le ph avec un code de couleur.

p. s. bis : pour tester ma sensibilité aux salycilates (car je semble bien supporter l'huile d'olive mais je voulais tester avec autres aliments), j'essaie avec un "gâteau cru" à base d'amandes choco et coco. Le pouls augmente à peine de deux pulsations. Et pourtant le soir soudain très irritable, dans la nuit réveil violent avec nausée et le lendemain matin pas très bien, donc il y a bien une réaction mais qui ne se manifeste pas par le pouls.


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 minus     21 août, 2018 - 15:12
 cortex

à noter: pas d'amines dans le poulet et le canard (sauf séché), ce doit être autre chose

les avez vous testés seuls, sans rien d'autre? à plusieurs périodes du jour?

le pouls: coca indique que cela revèle les franches intolérances, celles qui sont irréversibles

tant mieux votre hypothèse est la bonne: carences en enzymes, il faut reconstruire

pour moi, pareil, certains aliments montrent autrement leur effet que par le pouls, je finis par avoir mon petit panel de signes

au passage: gâteau cru? coco? amandes? mais c'est une prescription de malheur pour vous! les amandes sont des poisons végétaux dans votre état, en outre ils demandent un système digestif hors pair. le cru équivaut à ne rien manger, c'est le même stress qu'un jeûne

pourquoi manger ça? qui suivez vous pour penser que ça vous irait?

" jaune d'oeuf me provoquent souvent des fermentations de putréfaction": avez vous testé à toute heure du jour? l'oeuf seul sans autre accompagnement?  cela pourrait être les protéines soufrées de l'oeuf et vos voies de sulfation qui sont fragiles, mais ça se reconstruit

"salicylates": ma piste mes nerfs en paix est une autoroute pour commencer, mais après les 4 premières semaines de "reconnaissance du terrain", je ne connais pas un seul canari de la modernité ou hyperfragile qui réagisse à TOUS les salicylates (acides phénoliques, maliques, etc.). A vous de trouver vos amis et ennemis tant que vous y êtes réactive.

Essayons d'inverser la recherche: et si vous vous concentriez sur la recherche de ce qui fait du bien au corps, vu que vous vous écoutez bien? plutôt que de "penser" "réactivité" (je vous ai bien orientée avec le test du pouls, pardon)

NB un peu hors sujet quoique. Je suis avec intérêt la piste zerocarb d'Esmée Lafleur, je vois que son système est efficace chez des obèses maladifs et chez des canaris, même sans être nommés tels. Je me demande si l'effet positif de ce régime "boeuf et rien que boeuf" ne vient pas du fait qu'on ne peut pas tester tout et son contraire, vu que la plage alimentaire est hyper restreinte et qu'en conséquence le corps est en repos. Je pense à votre gâteau cru coco amandes, votre petit autosabotage (dis-je avec le sourire).


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     24 août, 2018 - 15:37
 cortex

Bonjour Taty,

pour le gâteau cru c'est une envie à laquelle je cède de temps en temps, disons ce sont les 20% (ou plutôt 10%) de "sortie de route" que je m'autorise dans l'alimentation ressourçante. Et je pensais que cela l'était, ressourçant, car élaboré à partir de choses qui se mangent de toutes façons crus (noix de cajou, huile coco...), je choisis ceux sans fruit (intolérante au fructose pour l'instant, ça je le sais...). J'ai découvert cela il y a deux ans et à ce moment-là j'ai vraiment eu la sensation que cela me ressourçait profodèment mais peut-être était-ce seulement le gras qui me faisait cet effet là (à l'époque je ne mangeais aucune source de gras saturé), et la consistance moelleuse, cotonneuse... Il y en a certains que je tolère plus que d'autres et justement plutôt ceux à base de noix de cajou, de noisettes ou d'avocat (et selon la quantité),... c'est grâce à ces gâteaux que j'ai découvert que je tolérais le chocolat (et découvert la sensation qu'il pouvait me ressourcer, mais est-ce là seulement gourmandise ??), lorsqu'il est pur, sans autre ajout de sucre, lécithine ou autre. 

Là ce qui m'a fait tester celui aux amandes c'est sans doute mon côté "casse-cou", provocateur, ce qui est souvent un trait des personnes en excès de contrôle et d'introversion le reste du temps, parfois un élan maladroit et trop brusque vient saccager ou du moins fragiliser l'équilibre du chateau de cartes que l'on a un peu trop consciencieusement et sérieusement tenté de construire....

Pour le teste de Coca ce qui peut aussi expliquer que le pouls reste relativement stable c'est que j'en suis encore à une alimentation très restrictive... je dois essayer aussi les aliments que j'ai soupçonné mais pas réintroduit comme le blanc d'oeuf, le petit épeautre, le blé etc. Mais petit à petit, je vous tiendrai au courant de toutes façons car cela peut-être utiles pour d'autre spersonnes souhaitant expériementer cette approche intéressante. Car elle a eu l'intérêt précieux pour moi de me rassurer : au moins je n'ai pas d'intolérance notable à ce que je mange actuellement, et c'est plutôt reposant de le savoir...

Pour le jaune d'oeuf je crois comprendre que si je les cuis un peu plus (jusque là je les faisais à la coque), mollet limite dur j'ai moins de pb de putréfaction. Il faudrait que j'essaie des oeufs brouillés et tester avec le blanc.

Ces subtilités (quantités, dose, moment de la journée, association, importance des rotations) vous êtes la seule à y accorder une réélle importance et j'ai l'impression que c'est pourtant là que beaucoup de choses se jouent. Pour la banane par exmple, j'en consomme la moitié et la digère mieux si je la mange avec un farineux, dans le porridge d'avoine par exemple ou avec une galette maison à base de farine manioc et de ghee, que si je la mange avec des oléagineux... Je suis intolérante aux oxalates des blettes et des épinards (même cuits) mais il semblerait que le chocolat, le café, les myrtilles en toute petites quantités passent sans entrainer une terrible inflammation du colon comme c'est le cas des blettes. Et me priver de blettes et d'épniards n'est pas un problème car, à la base, je n'aime pas cela, j'en mangeais pour manger des légumes verts... j'ai remplacé les blettes par la salade cuite !

Je fais attention à ne pas en abuser car ayant des cristaux d'oxalate je dois faire attention mais pour l'instant je n'ai pas envie de m'en priver, les rpivations étant déjà si nombreuses....

Mais c'est sûr que j'ai un pb avec le "soufré", et ce depuis très longtemps...

Oui j'ai entendu parler, grâce à vous d'ailleurs dans "du gaz dans les neurones" et "cinglés de sucres" du low carb. Mais je ne sais si cela m'est adapté pour l'instant où je suis encore en sous poids et où je ne peux augmenter trop le gras et les protéines animales. En fait j'ai essayé cet automne (avant d'entrer en profilage avec Maya) mais cela a fait flamber la perte musculaire et m'a beaucoup affaibli, perturbée aussi au niveau hormoanl déjà bien secoué... car je n'ai pu compenser par une plus grande quantité de gras et de protéines... Cela m'aiderait peut-être mais je ne pense pas que cela soit le moment. J'ai déjà bien diminué mon apport de glucides par rapport à ma période VG (aucun sucre rapide ni fruit hormis la banane et, mais rarement quelques myrtilles) mais les farineux garde effectivement une place non négligeable dans mon alimentation, en particulier le soir où je ne mange aucune protéine animale. Un repas que je mange très souvent le soir et qui, j'ai la sensation, me ressource (du moins la consistance me ressource...) est riz et potimarron ou pâtes de riz (ou de sarrasin) et potimarron avec 12 gr de beurre cru. Et une belle quantité de riz (200 gr cuit) donc c'est pas mal de glucides d'un coup... mais j'ai l'impression que cela me ressource. Mais est-ce ma tendance à aller vers les farineux qui parle... ou un besoin véritable du corps... difficile de discerner.

 Et depuis que j'ai un petit-déjeuner gras et protéiné la plupart du temps je sens vraiment la différence, moins d'instabilité glycémique, moins di'rritabilité etc.

Pour le boeuf je compte essayer en pot au feu mais j'ai la sensation que cela ne peut être une base pour moi. Je ne digère déjà pas bien les morceaux plus gras des volailles type cuisses et avant cuisse donc le boeuf... même les poissons gras certains jour cela passe, certains jours cela ne passe pas... et groupe sanguin A profil vata-pitta type cueilleur  je crois avoir compris que ce sont plutôt les viandes "légères" qui me conviennent davantage... et enfant je n'étais déjà pas très porté par la viande rouge (à part la moelle de l'os  que j'adorais !). 

 


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 minus     24 août, 2018 - 17:22
 cortex

ah si tous les audités pouvaient être aussi fins dans leur écoute de soi! et leur analyse. Continuez, je ne peux rien faire de plus qu'écouter à mon tour.

Oubliez la mode du low car car c'est ... une mode, comme l'alimentation vivante, etc. Je ne mentionnais le zérocarb qu'à l'appui de mon hypothèse des mangeurs "orthorexiques", ne le faites surtout pas, c'est d'un extrémisme!

Pour le cru, je résume comme ceci: à part les graisses, considérez que quand vous, ici et maintenant, mangez du végétal cru, vous ne mangez rien. Stress pour l'organisme qui se retrouve comme en jeune ou anorexie.

Les noix de cajou ne sont jamais crues (préroties car toxiques trop présents à l'état cru ), mais les amandes du gateau étaient crues.


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     24 août, 2018 - 17:51
 cortex

Merci Taty, car votre mot m'encourage :-)

Merci aussi pour l'info des noix de cajou rôties, cette info m'avait échappé. Je les fais tremper, comme les noix de brésil ou les noisettes mais je les ne rotissais pas. Je vais donc le faire ! Information préciuse... merci ! Je suppose que c'est la même chose pour les graines de courge.

Et comme en effet le cru ne passe pas depuis longtemps chez moi... cela doit être pareil pour les oléagineux.

Une anecdote : jusqu'à ce que je découvre vos topos je faisais mes pates à tartes (avec farines sans gluten) avec de l'huile d'olive, en bonne élève des naturos, et depuis que je les fais avec du ghee je les digère beaucoup mieux ! Et je soupçonnais les farines plutôt que le gras bien sûr... découvrir votre démarche, vos conseils, vos recettes m'ont ouvert des portes à grand coups de courants d'air, et mon corps vous dit merci :-)


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 minus     25 août, 2018 - 06:16
 cortex

noix de cajou: ah, si ce n'était que le seul défaut des recettes qui circulent sur le net ou dans les ateliers!

faire tremper des noix de cajou les rend gluantes, c'est normal, elles ne germent pas et ne se débarrassent plus de leurs phytates (donc geste de trempage vain), car elles sont rôties (comme les pignons de pin et les cacahuètes, toujours à cause de cette toxicité crue)

au pire, on produit des bactéries sauvages, pour un résultat aléatoire

en outre elles sont hypersucrées et peuvent provoquer des pics de glycémie

mais vous ne pouvez savoir car dans les trois mille voix qui chantent en Naturoland, il n'y a que le mienne qui remette en cause les rituels magiques.

Idem les noix crues: je propose souvent une Brésilienne, càd de les rôtir une fois par semaine. Elles sont bien plus digestes pour la majorité des mangeurs - en tout cas parmi ceux qui tolèrent encore les fibres dures des oléagineuses. Je m'inspire de la pratique chinoise ancestrale et des retours de vieux naturos. Les jeunes: ils chantent ce que les maîtres ont enseigné.

;) J'ai parfois l'impression d'écrire toute seule un code de la route fluviale que personne ne lit ;)

On peut se lancer en bateau sans connaître les bases, en improvisant. Mais à la première écluse, ça risque d'être un rodéo. Au premier supertanker qu'on croisera, re-rodéo...

 

 


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 minus     25 août, 2018 - 08:24
 cortex

Attention longue tartine suivra! Je range un dossier et je retrouve un échange de 2008 avec Carlo di Pascale, un animateur radio (émission culinaire belge). Je le copie/colle ci-dessous. Je note avec le sourire: 1/ voilà donc près de dix ans que je répète la même chose, en vain de toute évidence 2/ le même animateur est ensuite tombé dans les rêts enchanteurs de la dame, a pratiqué ses "cures", les a vantées puis s'est ridiculisé auprès de ses confrères (ou a connu des déboires, je ne sais); depuis lors il est devenu un des pires anti-naturo qu'il soit, il est hypercritique, hyperacide sur tout ce qui a trait l'alternutrition. C'est bien contre-productif, non? Alors que s'il avait voulu entendre la chanson des nourritures vraies, il n'en serait pas là.  La dame en question n'est ni sincère ni bien informée, c'est une cynique un peu sotte, qui est surdouée en marketing. Point barre. Bref, voici l'échange



Merci pour ton émission. Je suis heureuse que tant d'intervenants passionnés fassent passer le message d'une alimentation plus consciente, et je les en remercie.

Je suis en revanche attristée que ce domaine merveilleusement efficace de la cuisine "énergétique", "thérapeutique" (bleurks, que de vilains noms....) soit entaché de tant d'amalgames et contre-vérités sur fond de peur.

J'ai noté quelques affirmations de type naturopathique que M. a égrénées sur ces quelques minutes et qui, chacune, ont déjà eu l'honneur d'un article de ma part (sur le site, dans mes livres ou dans mon bimestriel) car ce sont essentiellement des rumeurs sans fondement (les "frottements moléculaires" du microondes, les enzymes vivants, les laitages "poison" et le calcium des végétaux, l'énergie indéfinissable dans les aliments, vitamine C inexistante dans le non bio et disponible dans le bio) quand ce ne sont pas des erreurs nutritionnelles démontrées, comme la dissociation alimentaire. Tous amalgames qui décrédibilisent la nutrithérapie, hélas. Je crains par ailleurs que l'intervention de M. ait été contreproductive auprès de 90% des auditeurs, effrayés par une telle révolution en cuisine, en freinés par un discours qui joue sur la peur et non la joie. Tu ne ferais pas une petite mise au point dans la prochaine émission?

Réponse de CdP. Je ne connaissais pas M. avant l'émission, et mon impression est que finalement son but est sincère et fort probablement efficace sur la qualité de vie de ceux qui suivent ses conseils. (Même si probablement il faut un peu se la compliquer la vie pour mettre tout cela en application :-)

La problématique en matière de nutrition est vraiment complexe pour nous (je dis nous pour dire nous les "observateurs/acteurs" du monde culinaire)

En effet, nombreuses sont les chapelles dans ce domaine, et des tenants de la cuisine "vivante" aux "végétaliens", on entend souvent tout et son contraire.

La seule façon de permettre à chacun de se faire une opinion, c'est juste de d'être là et de poser la question "Oui mais qu'est-ce que ça veut dire?" dès que l'on sent arriver la notion peu ou mal définie, laquelle notion sert de base le plus souvent à un discours scientifique ou "scientifisant" Exemple: c'est quoi un aliment "vivant"? Comment quantifie t on cette fameuse "énergie"? etc...

C'est ce que nous avons essayé de faire, notamment sur cette question de la nature de cette fameuse énergie...

Finalement je trouve ce débat passionnant et de toutes façons - malgré les erreurs ou les débats scientifiques et "politiques" inévitables - utile car sauf à adhérer aux sectes alimentaires les plus extrémistes, il conduit globalement à une prise de conscience alimentaire de la part du plus grand nombre...



TL Merci de tes commentaires. En gros et en travers, mon boulot est de faire le détective de la nutrition.

J'ai pratiqué quasi toutes les méthodes de l'alternutrition depuis douze ans et je me présente désormais comme "courtière en régimes", choisissant celui qui convient en fonction du profil métabolique de la personne.

Je m'adresse au mangeur qui ne sait plus où donner de la tête ou ne veut pas parcourir le long chemin pour faire le tri entre toutes les affirmations hautes en couleur...

Ma crédibilité provient du fait que je suis en rémission de plusieurs maladies graves avec une autre hygiène de vie, en principal axée sur une alimentation ressourçante qui n’a rien, mais alors, rien de difficile à mettre en place. Et que je fais mon petit faraday: je questionne tout, à tout moment.

Le débat "énergétique" est passionnant en effet, mais il est certains cas où l'on n'a pas le temps de se faire une opinion, de suivre quatre types de stages différents. Cette recherche peut être angoissante pour celui qui est confronté à un problème de santé, à qui son médecin demande une intervention alimentaire radicale... Et j'ai tant vu de personnes angoissées, souffrant et ayant peur de rechutes se réfugier dans les bras de gourous que je tente de mettre un frein à cet engouement.

Je tâche juste d'ajouter une voix de plus dans une chorale dont l'objectif commun est "le ventre conscient"...


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     20 septembre, 2018 - 14:39
 cortex

Bonjour Taty,

merci pour votre réponse, cela fait un moment que je voulais y répondre mais j'ai eu une période de profonds épuisements comme cela m'arrive souvent (et les saisons de transition accentuent cela...). Je voulais vous remercier car j'ai testé les noix de Brésil et les graines de courge rôties (au lieu du trempage) et  j'ai l'impression de bien mieux les digérer. Ma seule crainte de ne pas les faire trop rôtir, de savoir doser... j'avais en effet vu votre rectte de la Brésilienne mais je n'avais pas compris que cette méthode permettait aussi de diminuer l'acide phytique. MERCI !! En fait j'avais remarqué que lorsque je les mangeais à l'intérieur de mes biscuits maison (biscuits ou plutôt galette car seules farine de riz ou sarrasin + ghee + noix de grenoble ou noisette + épices type cannelle sans aucun produit sucrant ni fruits secs : j'aime tellement la texture croquante du biscuit que je n'ai pas besoin d'ajout sucrant) ils passaient très bien.

Je vous remercie pour l'échange avec Carlo de pasqule dont vous m'avez mis un extrait. Je crois deviner de quelle M. vous parlez... j'ai moi-même cédé au mirage au début (même s'il y a des choses qui intuitivement m'agacaient profondèment chez elle) mais je m'en suis vite éloigné. Et depuis que j'ai rencontré votre démarche, après des années d'errance, j'ai l'impression d'être arrivé à bon port... celui d'une alimentation RESSOURCANTE, quelle joie de tomber enfin sur une approche où l'on aborde les choses avec VIE et non pas la peur....

Vous remercier aussi pour le conseil du Fresubin : au début j'avais l'impression que cela passait mal puis j'ai persévéré pour l'instant j'en suis toujours à doses minimales mais c'est la seule chose qui inverse enfin la tendance et me permet de reprendre du poids et de sentir un peu plus de vitalité. Comme si enfin mon corps pouvait à nouveau s'incarner. Comme je suis encore en dessous de la normale niveau quantité de calories et de protéines (en raison de la faiblesse digestive), c'est la seule chose qui a fait la différence. Enfin je peux me concentrer à nouveau pour lire (j'étais arrivée à un point où je ne pouvais lire une seule page sans avoir besoin de revenir au début de la page car je n'avais rien retenu... et la lecture m'est si précieuse que c'est une joie de pouvoir retrouver la force de le faire). Je peux à nouveau tenir une conversation, mes neurones semblent reprendre vie, soudain...

 

Je pense avoir un pb au niveau de l'élimination des acides : d'un côté transpirer me fait du bien (après une marche énergique) de l'autre chaque fois que je fais fonctionner mes muscles, le lendemain je me sens comme "empoisonnée", brouillard mental, extrême faiblesse... donc c'est compliqué....(j'essaie le yoga et j'ai tellement perdu de ma masse musculaire qu'une simple séance d'une heure m'a laissé, le lendemain, dans un état nébuleux...). Je ne sais pas trop par quel bout prendre cela. Je bois peut-être trop peu (je pense grand maximum 1 litre par jour car peu soif et surtout ne peux boire en dehors des repas car en dehors me plombe l'estomac... donc j'ai trouvé ce biais de boire de l'eau chaude - avec ou sans infusion- après le repas puis rien entre.. mais cela ne m'empêche pas de me lever 2 ou 3 fois par nuit ou d'avoir besoin d'uriner je ne sais combien de fois/jour... pour presque rien.

Du coup, pour l'instany, et grâce à la prise de pouls qui m'a rassurée sur le régime actuel, j'explore d'autres pistes que celle des intolérances... j'y reviendrai après quand j'oserai à nouveau tester des reintroductions (blnc d'oeuf, petit epeautre, blé...).

 


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 cortex     21 septembre, 2018 - 06:25
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super de voir l'effet du fresubin, et bravo d'avoir fait confiance. Cela peut en effet paraître bizarre de passer par des poudres alors que je tanne le monde entier avec les nourritures vraies. Dans certains cas, même, je renvoyais les gens chez un médecin: "faites-vous faire des injections de multiminéraux, vous n'êtes plus en état de les métaboliser même en mangeant bio".

Boire trop peu ne me semble pas la piste pour votre cas, car boire épuise l'organisme. Boire chaud: la bonne piste! Il faut un juste équilibre, sachant que les aliments contiennent déjà bcp d'eau (viande y compris). Pensez qu'un concombre est 95% d'eau... et de l'eau qui vit. Je dois retrouver mon dossier "Dégâts des eaux", j'en ferai un pdf sur le blog.

Se lever pour uriner en buvant peu n'est pas justifié au plan nutritionnel, si vous faisiez une petite séance chez un psy sur ce sujet?

Marche énergique: vous êtes la seule à pouvoir juger, mais vu de l'extérieur: les effets que vous décrivez après la marche rapide sont plutôt dus au fait que vous n'avez pas les ressources pour tant d'efforts. Patientez encore un peu, que vous vous remplumiez. Quand j'étais si épuisée avant 2000, une amie naturo m'a rendu visite et vu le rameur dans ma chambre. "Bravo, tu vas mourir musclée" m'a t elle dit. Quel bon sens. En fait, je sentais (j'imagine) que mon corps avait un grand besoin d'oxygénation, ce que je cherchais avec le rameur puisque je savais à peine marcher. J'aurais pu pratiquer la cohérence cardiaque fenêtre ouverte, avec effet bien plus performant. Mais j'étais encore dans un raisonnement "comptable" de l'énergie.


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     7 octobre, 2018 - 21:37
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Bonjour Taty,

Merci pour votre retour !

- Pour le fresubin à vrai dire j'ai mis un peu de temps, puis après quelques jours de prise, j'ai rétro pédalé avant d'oser y aller vraiment car je voyais bien que je ne parvenais pas à prendre du poids avec la seule alimentation. Et puis depuis que je connais votre démarche et commencé le profilage mes habitudes alimentaires ont connu une révolution totale, j'en ai fait des loopings... et expérimenté les bienfaits de choses qui auparavant m'apparaissaient une hérésie (un de mes petits-déj actuels : tartines beurre cru + comté me serait apparu il y a à peine un an comme impossible à digérer et le comble des erreurs nutritionnelles moi qui ne jurais depuis 25 ans qu'avec les purées d'oléagineux). Donc j'ai choisi de plonger carrément et de faire confiance en votre expérience. Et avec le fresubin, au bout de quelques semaines rapidement effets incontestables sur le poids et la fatigue

Le bémol, je ne sais pas si c'est le fresubin (ou est-ce simplemnt le signe que certaines fonctions de mon organisme, jusque là en sommeil à cause du sous-poids reccommencent à "prendre vie") mais nouvelles appartitions boutons acné sur le visage (qui s'étaient calmé), explosion "d'angiomes rubis", odeurs transpiration bcp plus forte (je n'en avais quasiment plus depuis que j'avais opéré changement alimentaire), sueurs nocturnes et constipation +++ (c'est mon terrain mais la réintroduction de protéines animales et la diète drastiquement pauvre en fodmap a aggravé ce pb). Je viens d'avoir une crise qui m'a carrèment fait craindre une occlusion... je n'ai toujours pas trouvé de "béquille" pour ce pb... le psyllium aggrave (assèche encore plus), sans doute par ce que je ne bois pas suffisamment. J'ai essayé dernièrement le son d'avoine mai sje me demande là aussi s'il n'a pas aggravé le pb... 

Il faut dire que ces dernières semaines j'ai un peu "chargé la mule" pour le foie : parallèlement au fresubin je prends vitamine c (forme liposomale - acide ascorbique), magnésium, zinc B6 et onagre. Maya m'avait conseillé ces compélemnts depuis un moment mais je n'osais pas... repoussais toujours par peur des réactions. Et tout ça je le prends le matin, en même temps que le fresubin donc j'y suis peut être allé un peu fort ? Ou peut-être prendre ces compléments un jour sur deux ?

Ma difficulté est toujours de savoir si persistent dans mon alimentation des intolérnces cachées ou si je dois en passer par ces phases d'incorfort pour rebooster mon oragnisme et système digestif affaibli. C'est vrai qu'en un an j'ai proposé à mon corps d'arpenter des territoires totalement oubliés (protéines et graisses animales). 

Pour les marches en effet j'ai peut-être abusé, mais la sensation parfois, après la marche avec transpiration d'être "lavée" me laisse penser qu'elle m'est essentielle pour l'aide à la détox ( si embourbée chez moi...), et dans le même temps, le fait que je dois parfois me forcer exagérement pour la faire serait un signe qu'elle ne l'est pas totalement bénéfique. J'ai encore du mal à sentir ce qui est bon rééllement. Peut-être simplement en limiter la fréquence et surtout ne pas lésiner sur le REPOS. Vous évoquez la cohérence cardiaque et j'espère parvenir à une régularité avec elle...

Pour l'eau je n'ai toujours pas trouvé mon équilibre... boire chaud c'est sûr est ce qui me convient. La quantité encore... je tâtonne... 


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 cortex     8 octobre, 2018 - 05:57
 cortex

bonjour, quelques réflexions me viennent

Bravo d'avoir eu le courage d'essayer fresubin et une autre voie, comme celle de faire taire vos croyances accumulées. J'ai mis tellement de temps moi même à y arriver...

Il est difficile pour un profane même érudit comme vous de penser clairement dans notre monde actuel, où deux mots semblent prendre le dessus "détox" et "intolérance"

Ils recouvrent toutes les fragilités. Bien pratique, mais effet à peu près nul dans la pratique, car ils n'aident pas à penser le problème. Vous êtes en bonne voie pour vous écouter, continuez mais en oubliant ces deux termes qui ne recouvrent qu'un millionnième du territoire, pour reprendre la métaphore.

Ce que vous manifestez (acné, etc.) ressemble tout simplement (je peux me tromper, mais je vous suis sur cette hypothèse) à un corps qui repart hors de la quasi anorexie que provoquent les modes "détox". Il est resté en sourdine le temps qu'on le sous nourrissait, ce que fait aussi le corps pendant le jeûne. Je suis la doctoresse Kousmine sur ce plan: ces modes alimentaires mal équilibrés ne font que masquer les problèmes, ils ne résolvent rien. Ses patients crudivores (qu'elle décourageait de continuer, mais chacun est libre) avaient parfois de gros rhumes après un sandwich en famille. UN!

Le son d'avoine: oubliez! c'est pour les chevaux, cela équivaut à vous démaquiller avec une éponge métallique. Cela va marcher, mais après quelques jours: aïe!

Compléments: je suis d'accord avec vous, j'attendrais d'être redevenue droite, verticale, adulte (le corps épuisé est un nourrisson). Particulièrement le zinc: on peut provoquer de gros dégâts à surdoser, à cause des interactions avec le cuivre entre autres. Pas en une semaine, mais en un mois déjà. Ce trio Zn B6 O6 n'est utile QUE pour les cas de pyroluriques de naissance.


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     7 novembre, 2018 - 21:08
 cortex

Bonsoir Taty,

Depuis votre dernier message, la survenue du froid (même si relatif là où je vis ;-) et SURTOUT le retour à la ville (j’ai eu la chance de passer les 3 mois d’été dans un village proche de la montagne, au grand air et davantage préservé des ondes….) a engendré un grand PATATRAS…. Retour de l’épuisement chronique et la digestion qui peine. Une échographie a d’ailleurs confirmé que ma vésicule était à la peine (microlithiase). J’ai alors commencé une cure d’aubier de tilleul, en étant attentive suite à ce que vous racontez de votre propre expérience… et je ne sais pas si cela va passer. Deux essais consécutifs à quelques jours d’intervalle : la fatigue +++, nébulosité, état nauséeux, sorte d’état inflammatoire, avec réveil douleur arthritique, et digestion encore plus laborieuse…. Je ne sais pas si je vais parvenir à faire la cure… Et je voudrais pourtant trouvé une solution car j’ai déjà souffert d’une crise intense par le passé (et non diagnostiquée sur le moment…)

Du coup je me demandais si je n’allais pas tester plutôt en gemmo l’érable ou le frêne ? Auriez-vous testé l’un ou l’autre ? Toujours est-il que depuis quelque temps ma vésicule rame plus que jamais, encore plus de mal à digérer le gras alors que, depuis la réforme alimentaire, j’avais eu la sensation que j’avais « trouvé » la dose (30 gr de beurre cru en deux prises matin et soir + 10 gr de palme ou 10 gr de coco ou 2 c à soupe huile VPPF le midi).  Vous racontez dans votre blog avoir été aidé par un ostéo, peut-être serait-ce la piste pour « débloquer », le tout est de trouver le bon… entre temps j’ai essayé l’acupuncture, pour la première fois, mais pour l’instant pas d’amélioration.

Une autre chose que je me demandais. Dans plusieurs de vos topos, et c’est du pur bon sens, vous insistez sur le fait qu’il ne faut pas manger sans ressentir la faim au risque de bouleverser certains circuits hormonaux (je résume et déforme peut-être, pardonnez-moi…). Pour ma part cela fait des années que je mange « sans faim », si j’attendais la faim je mangerai encore moins que ce que je fais. Elle se réveille parfois en mangeant, comme le dit le proverbe. Mais cette absence d’appétit a forcèment une incidence sur la mauvaise digestion…. Le seul moment où est réapparu l’appétit c’est les premières semaines où je prenais TRIENZA et c’était super ! Cela ne me poussait pas à manger davantage mais au moins à manger avec appétit, à sentir la sensation de faim… mais cette sensation s’est peu à peu éteinte. Le corps a repris ses anciennes habitudes. Et comme je suis encore dans une diète restrictive, et mange un peu toujours les mêmes choses, c’est difficile de « saliver »…

J’ai été anorexique durant 10 ans pendant mon adolescence et j’ai sans doute court-circuité pas mal de circuits… sans parler des carences des 25 ans de VG. Auriez-vous dans votre expérience des cas qui aurait inventé des stratégies, trouvé des « trucs » ?

Quant aux termes « détox » et « intolérances » je vous avoue que je n’en peux plus… et cela n’est toujours pas facile d’aller à l’encontre de ce qui est devenu des mantra et des croyances qui ont été les miennes durant si longtemps... mais je reviendrai là dessus dans un autre message.


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 cortex     8 novembre, 2018 - 05:30
 cortex

je vous réponds depuis ma propre vésicule paresseuse: je ne peux payer l'ostéo tous les mois pour la débloquer, il m'a pourtant montré comment faire moi même mais curieusement j'oublie tout de suite. En revanche, dès que ça flanche (je le sens aux nausées), je prends du cynarol, tout bêtement. Pharmaceutique. Ou toute forme d'extrait d'artichaut: le mieux est en liquide, pour moi; mais depuis que cynarol ne se fait plus en sirop, j'ai essayé toutes les autres marques: aucun effet. Donc retour aux pilules de cynarol.

Je précise que manger de l'artichaut ne sert à rien, ce sont les feuilles des tiges qui sont efficaces.

Mais le cynarol ne fait rien s'il y a des calculs, j'imagine...

Aubier de tilleul: essayé un jour seulement, et de fortes douleurs dans les reins. J'ai arrêté.

C'est assez bizarre, mais je ne suis pas la seule hypersensible qui réagit mieux, dans certains cas, à des produits pharmaceutiques plutôt que naturo. J'imagine que mon organisme n'a pas la force de décoder le subtil du naturel?


re: tester l'hypothèse : le glucomètre pourrait servir pour évaluer les réactivités à un aliment particulier
 Seabird     8 novembre, 2018 - 09:12
 cortex

Merci Taty pour votre réponse archi matutinale.... !

Par excès d'optimisme (et de naiveté peut-être) je pensais qu'une fois "débloquée" par l'ostéo, votre vésicule serait entrée dans un cercle vertueux... je n'imaginais pas que d'autres séances seraient nécessaires... donc inenvisageable pour moi itou car je n'aurais pas les moyens, déjà pour une séance ce serait compliqué donc plusieurs... l'avantage de l'acupuncture que je teste est qu'elle est remboursée mais pour l'instant je n'y réagis pas. Je crains que cela ne soit un nouveau "coup d'épée dans l'eau". Comme je ne réagis plus positivement aux granules homéo. 

Pour l'aubier je vais retenter un autre jour mais j'ai l'impression que mon organisme n'a pas la force de profiter de ses bienfaits, j'ai l'impression que je m'autointoxique avec ,plutôt qu'autre chose (réveil arthrite entre autre :-(    Ce que je crains pour les calculs c'est l'évolution... j'ai eu une pancréatite aigue il y a quelques années, probablement du à calculs ayant migré... donc j'appréhende une nouvelle crise.

Je vais peut etre essayé le cynarol. Ce qui m'ennuie c'est l'oxyde de titane.... mais comment faire lorsqu'on ne réagit pas ou violemment (ce qui est le cas avec l'aubier) aux produits naturo ? c'est un vrai casse-tête. 

Merci pour ce retour d'expérience.

P. S. j'adore votre titre "homme toujours tu chériras l'amer..." qui m'a permis de comprendre pourquoi j'étais en effet depuis quelque temps attirée par l'amer (endive, raids noir toujours cuits à la vapeur) chocolat, café... ces deux derniers très raisonnablement... d'autant que j'ai compris très récemment que le chocolat aggravait ma constipation. 

Vos topos et blogs sont des mines inépuisables d'info remarquables. Et vos titres sont toujours géniaux, avec une mention spéciale pour celui-ci que vous as inspiré Baudelaire.