Bonjour Taty, je reprends le fil de la conversation, car on vient de me diagnostiquer une rechute de cancer du sein sous forme de métastases au foie, je me suis donc lancée avec grande motivation dans la diète cétogène, les lectures, les recherches, etc.
Avec l'accord de mon oncologue, j'ai adopté le régime cétogène, je jeûne pendant 48h autour de la chimio (24h avant et 24h après), et je vais bientôt commencer le traitement métabolique du Dr Schwartz (mais sans Metformine, mon oncologue dit qu'il ne veut pas que je tombe en syncope :-)).
Je voulais savoir si vous aviez eu des réponses aux questions que vous vous posiez (http://taty.be/cetogene/cetogenep56quest_cancer.html).
J'en profite aussi pour vous demander votre avis sur le bol d'air Jacquier ? Est-ce vraiment un plus ? Car cher, même en location.
Je me pose aussi des questions sur les doses de protéines quotidiennes, la plupart des auteurs parlent de ne pas dépasser 1g/kilo de poids corporel, Seyfried descend même jusque 0,5g. Mais quid du sportif ? Car j'avais l'habitude de faire du renforcement musculaire 3 x par semaine, + 1 jour de cardio + 1 jour de footing. Et je compte, dans la mesure du possible, garder ce rythme.
Merci d'avance,
P.S. : pour info j'ai suivi le cursus ART chez Maya
bonjour
Tout d'abord, toute ma compassion pour cette épreuve.
Je n'ai pas eu de réponses encore, je n'ai interrogé qu'un biochimiste. Réponses assez peu satisfaisantes à mes yeux. Jai fait suivre les questions au dr schwartz, via une amie, mais bon tout ce qui est virtuel ,on l'oublie vite. Si jamais je le croise, je l'interroge.
Le bol d'air Jacquier: pas utile à mon avis si vous avez un programme si bien structuré
Metformine: schwartz le donne, à mon souvenir, à ceux qui ne veulent pas faire la cétogénique; je ne cumulerais pas non plus les deux
Protéines: tout dépend de votre environnement et de votre profil! bien sûr... voir la formation ART. Dans mon cas, je peux prendre tant de protéines que je veux et je suis en supercétose, mais si je prends ne fut ce qu'un gramme de glucides, je suis en minicétose à 1.5, 2 max. Il faut donc tester, c'est assez facile avec un lecteur de glycémie et des tigettes de cétonurie.
Je ne pense pas que Kammerer limite tant les protéines. Or, il faut se fonder sur une seule parole, sinon on se perd. Et dans le cas d'une maladie déclarée, on n'a plus le temps de faire des tests. J'ai donc proposé sur le site de suivre le livre de Kammerer et basta. Femme, donc pragmatique; allemande donc structurée; médecin et pas chercheur en labo, donc peu délirante. Pardon pour la caricature, mais voilà trois critères qui me donnent confiance.
NB: pour Seyfried, n'oubliez pas que c'est un chercheur, loin des réalités du terrain. Je suppose que vous avez lu http://taty.be/cetogene/cetogenep54GKI.html
Et enfin, approcher la cétose suffit sans y entrer nécessairement. Ces chercheurs nous décourageraient à la fin. Plein de cas observés: c'est le calme du circuit de l'insuline qu'on cherche. Ce qu'on obtient par exemple avec la méthode Kousmine (qui est l'autre voie que je proposerais à une victime de cancer, pendant les traitements). J'ai interviewé ma soeur en vidéo comme exemple car elle n'a pas du tout fait la cétogénique mais bien un "décrochez des sucres" en nourritures vraies. Avec un résultat époustouflant. Et elle n'a pas voulu prendre le traitement schwartz.
Merci beaucoup pour votre réponse Taty !
En vérité, la question sur les protéines je ne la posais pas tellement pour le fait de rester en cétose ou pas, mais surtout pour leur teneur en glutamine qui serait également un promoteur de prolifération, comme le glucose. Et ça me stresse un peu.
Etant groupe A, vata, D1 (pas réellement confirmé mais je m'en sens proche), chasseur je n'ai pas de mal avec la cétogénique :-) mais après des années sans viande (semi-végétarienne, juste un peu de poisson) quand je me suis remise à en manger je me suis rendue compte que j'en avais tellement manqué que j'ai peut-être un peu forcé la dose :-I
Voilà, c'est vrai que dans une telle situation on a peur, on a envie de tout faire pour mettre toutes les chances de son côté, et vu que je suis un peu "bulldozer", quand je me décide pour quelque chose j'y vais à fond sur tous les fronts.
Je vous tiendrai au courant de mon évolution, on refait scans et irm en décembre après 3 cures de chimio.
Bonne journée
ah parfait, je n'ai pas encore fait le billet sur le sujet "glutamine-glucose etc". Pardon à Seyfried et à tous ses camarades, dont le ravissant Colin Champ qui fut son élève, mais raisonner des concepts aussi denses et complexes que le cancer en "glucose et glutamine" est puéril. Même le tout aussi brillant dr Schwartz tombe un peu en enfance quand il dit que "le cancer est un problème physique de pulsion/forces facilement explicable", sous-entendant qu'on a tout compris. Pardon à lui aussi. Je suis plutôt Adrienne Scheck (ortho?), tout aussi bien équipée dans son cinquième étage, mais qui, j'y reviens, a le bon sens féminin: il n'y a pas UNE réponse, UN ennemi (ou deux), UNE explication. C'est commle croire que tout est inné ou tout est acquis. Je cite Boris Cyrulnik: c'est 100% acquis et 100% inné.
En outre, la glutamine peut faire souci en boîte de pétri, nous ne sommes pas des sacs de sucs, encore moins des boîtes de pétri. J'élaborerai pour un billet quand la muse me visitera.
J'extrais un échange mail avec une copine, que je reformulerai pour un billet (elle m'interrogeait sur le dernier livre de Mercola, qui est tombé dans le chaudron aussi). Non pas histoire de vous décourager, au contraire: continuez, vous avez tout mis de votre côté. Mais pour relativiser cette piste suivie trop radicalement. Vous faites les chimios + le jeune + le métabloc. Vous pourriez même vous passer de la cétogénique tant c'est déjà puissant!
Je raconterai ceci sur le blog. En gardant le jeune chiot qui a adopté mon fiston, j'ai repensé à ma dernière chienne: je l'avais adoptée avant qu'on la pique, sachant qu'elle était épileptique et folle. Comme une femme d'alcoolique: "avec moi ça ira mieux, je la soignerai bien". Tu parles! Je l'ai mise à la cétogénique, très bien, plus de crises - ou quasi: 2 ans par an. Après 3 ans, même régime, même environnement, les crises se sont multipliées: on était à 8 ou 9 par jour. Crises où elle devenait agressive ensuite. Un jour, dans une ferme, elle a attaqué un jeune chiot et a voulu carrément le manger. ça a signé son arrêt d'éveil: au dodo, la bête! Et finies mes intentions de femmes d'alcoolique. Tout ceci pour répéter que la cétogénique est un outil merveilleux s'il est temporaire.
Je pense aussi au cas de cet ancien champion de culturisme américain (retrouverai ses références) qui a fait le buzz en cétoland quand il y a 10 ans il a guéri de son cancer avec la cétogène.... pour mourir d'une version fulgurante deux ans après.
Et au docteur Nicholas Gonzalez (cancérologue NY, décédé), successeur de William Kelley, qui a vécu la même histoire avec son chien cancéreux: rémission pendant 3 ans, puis flambée incontrôlable.
ciao biz, soyons modérés!
Je suis bien d'accord avec vous, le cancer est une maladie tellement complexe et multifactorielle, qui parvient à muter, déjouer ses agresseurs, se mettre en latence pour ressurgir des années plus tard. J'en viens presque à l'admirer parfois.
Et effectivement, mieux vaut garder quelques cartouches dans son sac plutôt que de bombarder avec tout son arsenal en une fois. C'est là que je dois modérer mes ardeurs ;-)
Et explorer d'autres voies que l'alimentaire ...
Je reviens avec quelques nouvelles de ma santé, après un peu plus de 2 mois de cétogénique et le traitement métabolique : premier bilan très positif, mon oncologue est ravi car il y a une forte diminution du volume des métastases :-)
Selon le rapport médical : "diminution de la vascularisation et de la taille (3,5 cm => 2,3 cm) de la lésion SIV, de la lésion satellite SII (14 mm =>12 mm) et de celle du SV (18 mm => 14 mm). Evolution nécrotico-hémorragique des lésions du foie gauche."
Comme il est très difficile de savoir quel ou quelles combinaisons de traitement(s) a fonctionné, voici le détail de tout ce que j'entreprends :
Traitement médical prescrit par mon oncologue : chimiothérapie (taxotère) + anticorps (Herceptine et Perjeta) + hormonothérapie (Zoladex)
Traitement complémentaire : traitement métabolique du Dt Schwartz (acide alpha lipoïque + hydroxycitrate) tous les jours en continu depuis deux mois
Au niveau alimentaire : régime cétogène à base d'aliments ressourçants, bouillon de poule presque tous les jours, zéro alcool, jeûne de 48h toutes les 3 semaines autour des chimio
Au niveau non alimentaire : sport dès que possible, méditation/visualisation, psy, soins énergétiques, introspection et lectures éclairantes ET plein de projets et un grand optimisme ;-)
Il y a quand même des moments difficiles concernant la tenue du régime : envie d'une bonne tartine, d'un petit verre de vin, ou de coquillettes au fromage, mais les premiers résultats encourageants me donnent la motivation pour tenir bon et continuer.
Je croise les doigts pour la suite :-)
Félicitations pour votre courage et votre ténacité, en tout cas. Plus on sera de fous à prendre des voies parallèles, plus les médecins seront tentés de nous écouter et d'envisager des voies comme le Métabloc ou la diète cétogénique.
Tenez bon encore au moins deux mois, et puis vous pourrez j'imagine jouer à un peu plus de variété. Si souhaité. Je ne pense pas qu'un cancer peut flamber ou une rémission s'interrompre radicalement si on mange UN croissant. Mais quand on ouvre la porte aux exceptions, on a vite fait de s'octroyer une petite exception par semaine et puis par jour et puis trois fois par jour. Tout dépend de la nature de la personne. Perso, j'ai un cerveau dit de toxico (il y a les deux formes), donc je dois m'abstenir sinon je m'autoriserais tout. En tout cas c'est ce que je ferais en cas de traitement anticancer.
Merci pour vos encouragements Taty !
Je compte poursuivre la cétogénique le plus longtemps possible, au moins jusqu'à la fin des chimios et stabilisation de mon état, et je ne vais pas m'autoriser d'exceptions car je pense aussi qu'une exception peut vite devenir la règle (on ne réalise pas très vite qu'on déborde du cadre plus souvent qu'on le pense, à moins de noter tous ses menus et de faire le bilan chaque semaine).
Mais c'est dur, et il faut beaucoup de volonté ...
Par contre je me demande jusque quand continuer le Métabloc ? Quel est votre avis là-dessus ? A vie, est-ce envisageable ? Ou alors selon le plan alimentaire adopté par la suite ? Par exemple si on compte remanger féculents et glucides en quantités "normales" ? Et si, comme je pense le faire, en sortant de cétogéniqe, j'adopte un plan "décrochez des sucres" à 6US/jour, devrais-je encore prendre le Métabloc ?
je vais demander confirmation au docteur Schwartz via une amie mais je suis quasi sûre que ce n'est pas à vie. Comme aucun traitement d'ailleurs, sinon le corps s'habitue et l'efficacité diminue. En revanche, faire des cures de 3 semaines deux fois par an après la guérison: quelle bonne idée!
Vous serez bien protégée avec "décrochez des sucres" à 6US/jour (60g de glucides pour ceux qui ne connaissent pas mon calcul; ces glucides étant non nets, donc fibres comprises), d'autant plus que vous le pratiquerez en nourritures vraies. Vous prendrez alors le temps d'évaluer votre dosage: selon les personnes il faut un peu plus ou un peu moins de 6 US par jour avant que l'insuline ne chante trop fort et que le circuit rippe. On teste tout simplement avec un carnet d'auto observation ou avec un glucomètre (chercher sur ce terme sur mon blog taty.be). En outre, vous affinerez en choisissant quels glucides: dans mon cas, à même taux de glucose, un part de farineux ne fait pas le même effet qu'une part de fruit (qui fait flamber, chez moi).
Merci pour les conseils Taty.
J'ai encore une question par rapport à la cétose : il me semble avoir lu quelque part que les tigettes évaluaient bien la cétose au début, puis que cette méthode perdait en efficacité (une questions de cétones plus très présentes dans les urines je pense). Et dans mon cas, si au début du régime j'étais en cétose forte, pour le moment ce sont plutôt des traces ou une cétose légère. Même en période de jeûne je suis dans des valeurs moyennes et pas fortes.
Si je veux mesurer réellement mon taux, dois-je donc investir dans une autre méthode ? qui mesure les cétones dans le sang, ou dans l'haleine ? (mais à 250 euros le Ketonix c'est un peu onéreux).
1/ je viens d'avoir confirmation par ma copine, proche de schwartz: en effet, arrêter metabolic à la fin du traitement chimios
2/ pour les cétones, relire tout le début de ce fil, via la page 1. Ne vous prenez pas la tête, calculez plutôt la glycémie avec un glucomètre (28€). Même pas glucocétomètre, car les consommables sont hors prix.
Ok, merci beaucoup pour vos réponses rapides !
cortex à écrit :
(Ce billet s'adresse au principal aux référents en audit nutritionnel ou aux coachs, mais peut être compris par des profanes).
Le prochain colloque médical "Repenser le cancer" à Paris (21/9) me semble ne pas éveiller l'attention qu'il mérite. On est peut-être aux portes d'un nouvel âge. Y assister est aussi passionnant que d'avoir été présent lors de la chute du mur de Berlin. Au XIXè la tuberculose était aussi effrayante que le cancer l'est aujourd'hui. Ces frayeurs sont terminées depuis qu'on a trouvé le bon traitement. Il se pourrait que dans trente ans, on ne parle plus du cancer que comme d'une maladie anodine, comme un rhume, s'il est vrai qu'on a retrouvé une piste oubliée mais efficace...
J'ai restructuré la table des matières du dossier cétogénique sur mon blog, avec une sous-table des matières pour son emploi dans les cas de cancer. Orientation pragmatique, nous sommes entre non experts en recherche, n'est-ce pas.
Rappel: ces billets sont des supports de travail pour un praticien, un auditeur ou un coach. J'y propose des lectures pour ouvrir le débat avec vos clients/patients.
***S'il ne faut lire que peu, se limiter aux trois premiers billets, dans cet ordre.***
- La cétogénique contre le cancer
- Le docteur Laurent Schwartz - traitement doux du cancer
- Pour un cancéreux qui veut explorer la voie cétogénique
Option 1. Peu de temps, pressé, unilingue FR. Lire les billets et suivre uniquement les liens mentionnés au principal dans les billets - le tout prendra une heure:
- Cancer - traitement, chez Bernard Bel, une longue page qu'on peut comprendre sans cliquer sur ses liens
- Keto Human Study -- Effects of Ketogenic Diets in Canine Cancer, ne seule vidéo à regarder si vraiment on veut un cas concret
Option 2. Plus énergivore. Si votre client/patient a le temps, se faire sa propre idée pour découvrir les recherches du docteur Schwartz sur le web, là on déborde en temps :)
- Vidéo de sa conférence au CERA
- Il intervient dans le reportage Arte cancer la piste oubliée Vf Documentaire Arte HD
- Voir aussi toute la chaîne Guérir du cancer dont des rescapés soignés par le protocole Métabloc. J'ai bcp aimé cet interview ci, profonde, sereine, globale sur le cancer et la cure (Benoît Rozain). Lire le détail
- Voir les témoignages, sur le site
Option 3. Pour anglophones. Les précédents + La chaîne Epigenix (colloque d'experts - 25 conférences sur le sujet)
Option 4. Pour une autre vision holistique du cancer, qui confirme la piste métabolique. Plus orienté "théorie fondamentale", pour les esprits scientifico rigoureux. Les précédents + la chercheuse Bissel
- Regarder sa présentation Ted (Experiments that point to a new understanding of cancer - sous-titres français parfaits)
ou lire le résumé en français sur le site du Monde.
- L'écouter dans le reportage d'Arte fin 2016, à partir de la minute 18: cancer la piste oubliée Vf Documentaire Arte HD.
Dans tous les cas de figure, essayez que votre client/patient ne se perde pas dans d'autres pistes. La recherche personnelle et le doute ont du bon, SAUF quand on est pressé, qu'on a mal, qu'on a peur et qu'on est confronté à la grande soupe de macaronis de l'internet. A moins d'être un féru de nutrition depuis de longues années, il est impossible de faire le tri entre les hargneux par principe, les blonds, les chefs de chapelle bloqués sur leurs positions, les experts autoproclamés mais sans crédibilité... et les vrais pros, généreux, fiables, documentés, se basant sur des expériences concrètes pendant de longues années.
Essayez de le convaincre que je suis prof' de discernement (ce qui manque le plus aujourd'hui), que je cumule un esprit rigoureux et vérificateur à une ouverture aux autres possibles et que je ne fais pas ce travail pour des raisons commerciales (les droits d'auteur hihi... de l'argent de poche!), mais bien par un besoin fondamental et viscéral de partager ce qui m'a été donné.
Isabelle à écrit :
Merci beaucoup pour ce billet très complet !
Existe-t'il à votre connaissance des articles/livres/témoignages de référence concernant la période de rémission d'un cancer ? En d'autres termes, les pistes à suivre pour éviter une récidive. J'ai bien conscience que rétablir le terrain chez quelqu'un qui a souffert d'un cancer doit être paramétré de manière individuelle. Mais j'aimerais savoir si on reste "cantonné" dans un plan alimentaire céto ou quasi/low carb à vie ? Si le fait qu'il y ait eu cancer signifie qu'il y a une faiblesse de terrain qui ne pourra jamais être complètement "guérie" ?
Georges à écrit :
A noter que le samedi 14/10/2017 auront lieu les "35èmes rencontres des Médecines Alternatives et Complémentaires" à l'hôpital Tarnier (Paris 20ème). Il s'agit essentiellement (uniquement ?) d'oncologie. Ces conférences sont ouvertes aux non-médecins ! Inscription 40 ou 50 € selon la date. Lettre d'accompagnement et plaquette ici :
http://img-view.mailpro.com/clients/2016/6/5/129623/Lettre%20accompagnement%20Tenon%202017%20.pdf
http://img-view.mailpro.com/clients/2016/6/5/129623/Plaquette%20Tenon%202017.pdf
minus à écrit :
Merci Georges, je vais regarder qui intervient. Il existe d'autres pistes que le traitement métabolique du dr Schwartz bien sûr, comme les produits Beljanski. Mais dans tous les cas, je voudrais que le public comprenne bien que le jeûne ou la cétogénique ne suffisent pas. IL faut combiner à un traitement.
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